dimanche 23 mars 2008

Poème de voyage : VENISSIMO 1997

Quittant Ferrovia un dimanche d’agosto,
Pour voguer prestement dans un vaporetto,

La magie des canaux et des maisons dans l’eau,
S’empara de nous deux, subito et presto.

Très vite sous le charme du divin Emilio,
Trompes l’œil, anges, murs peints et Canaletto.

Le besoin de rêver autour de San Marco
Nous poussa dans les « calli » d’un pas allegro.

Canal Grande, églises et autre palazzo,
Défilèrent sous nos yeux jusqu’au Rialto.

Ajoutons les verriers, ô douce Murano
Burano et sa table du « Da Romano ».

S’agissait-il d’un rêve, d’un paradisio
Uniquement Venise et son eldorado !

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